Le sable aussi est en
voie de disparition. Parce qu’on le pompe depuis les côtes – en détruisant, au
passage, des îles habitées (Indonésie) – pour le
réinjecter, comme du botox, sur les plages les plus touristiques du monde
(Miami) ou pour l’utiliser dans des constructions pharaoniques qui ne seront
jamais vendues (Dubaï). Ce n’est pas beau à voir, mais l’excellent documentaire qui nous a révélé tout ça est
disponible en replay sur Arte.
Le sable, enquête sur une
disparition, de Denis Delestrac, 74 min, disponible encore quelques jours ici.